27 avril 2009

Tribute to Bouly [Translate]

Bouly, je t'avais promis une réponse à ton post du mois de mars dans lequel tu racontais notre amitié, et qui m'avait fait énormément plaisir. Au moment où tu l'avais posté, j'avais simplement eu le temps de te répondre par un commentaire, et j'ai ensuite continué mon blog comme si de rien n'était... Je me doutais qu'il serait plus facile d'illustrer ma réponse plus tard. Et bien "plus tard" c'est maintenant, puisqu'on a vécu des moments assez grandioses lors du peu de temps passé ensemble en France.

Jeudi tout d'abord, jour de ton arrivée, où tu ne m'as pas déçu concernant la tête de fion que tu m'avais promise. Tu avais fait ce qu'il fallait pour remplir ton défi personnel "moustache" pour la remise des diplômes (voir plus loin). Ça m'a bien fait plaisir de faire le trajet en RER jusqu'à Paris avec toi, histoire de discuter un peu malgré le jetlag. Je passerai vite sur cette journée de jeudi, pendant laquelle c'était cool aussi de se faire un Subway à 4h du matin pour toi, et de passer la soirée avec PA, Manu, Light et toi, pour mieux développer la journée de vendredi, qui restera longtemps dans nos mémoires :)

De retour de l'aéroport, dans le RER.

Vendredi, Bouly, avec son jetlag dans la face, une journée bien remplie la veille avec une sieste de seulement 45 minutes, et une soirée dans les jambes, est dans le métro à 8h30 du matin pour me rejoindre chez Anaïs (notre grande complice, sans qui on aurait moins profité de cette journée tant elle nous a facilité la tâche en étant toujours avec nous). Direction le foyer de Télécom chargés d'un pot de peinture bleue, d'une bâche, et de 4 combinaisons anti-salissures, pour essayer de laisser une trace de notre passage à Télécom. C'était sûrement le dernier jour qu'on y mettait tous les deux les pieds.

Arrivés sur place, on enfile notre première couche de combinaisons par-dessus nos vêtements sales.

Puis la deuxième combinaison, une taille au dessus. Bouly s'était arrangé
la moustache en vue de la remise des diplômes la veille au soir chez PA.

Et c'est parti, on commence à s'enduire de peinture sur tout le côté pile.

Plaquage contre un pilier du foyer. Ça faisait depuis notre 2ème année à Télécom qu'on discutait de ça !

Même tarif pour Bouly, première couche validée.

C'est parti pour la deuxième couche, histoire que ça ressemble un peu plus à quelque chose.

Deuxième couche terminée, on va pouvoir passer aux finitions au pinceau.

Une tête et une signature au pinceau ou au doigt.

Vue d'ensemble du chantier quand Bouly commence à réaliser les dégats...

Les artistes, fiers de leurs oeuvres :)

Petit bonus made by Bouly

Ni les combinaisons ni nos vêtements ne nous ont protégés.


Cette joyeuse petite aventure était bien loin d'être terminée, il nous fallait maintenant passer à la phase de nettoyage, si on ne voulait pas tendre une main bleue au directeur de Télécom lors de la remise des diplômes qui avait lieu quelques heures plus tard. On pensait que les combinaisons seraient un peu plus utiles, mais surtout on ne pensait pas lutter autant pour enlever toutes les traces de peinture qu'on avait sur tout le corps. On a squatté les douches de Télécom pendant une heure ! Anaïs est même sortie acheter du savon, et a fini par trouver la bonne technique : utiliser mon T-shirt comme gant de toilette, là ça a fini par être efficace.

Un aperçu des traces de peinture. Heureusement qu'il y avait de l'eau chaude !
On voit que je suis rouge là où j'ai frotté...


Après avoir mangé à Gladines où l'escalope de veau montagnarde a bien fait plaisir (j'avais filé mon caleçon à Bouly pour cause de peinture sur le sien et de jean troué, et je n'avais plus de T-shirt, donc j'étais juste vêtu d'un sweat et du short de Bouly !), et s'être changés, le deuxième objectif de la journée était notre remise de diplômes. Petite session photos dans le métro pour s'y rendre...

Au niveau élégance, c'est autre chose que ce matin !


Ça a commencé par la photo de promo, (Anaïs aidait à l'organisation donc c'est la mère de Bouly qui est passée aux commandes de l'appareil photo) pour laquelle Nicolight ne pouvait pas être présent. Nicolight c'est le genre de mec qui prévient ses parents de la remise de diplômes la veille après 22h donc bon, il n'a pas dû être trop au taquet pour prévenir son boulot non plus, donc il devait bosser ! Alors il nous a fourni une photo d'identité format A4, histoire d'être quand même présent :)

Ça a super bien marché : Bouly a eu l'idée, Light s'est chargé de fournir le matos, et j'ai pris en charge l'exécution... Du bon travail d'équipe !

Quelques images de la cérémonie, immortalisés par Mme Boulant !

La rencontre avec Marcel Boulant m'a bien fait plaisir !

Au cocktail post-cérémonie, une bonne team.


On était venus à la cérémonie pour récupérer nos diplômes, bien entendu, mais puisqu'on savait que nous allions nous retrouver à cette occasion, et avec une bonne partie de nos amis, on voulait marquer les esprits. Et ce n'était pas forcément facile, parce qu'on ne voulait pas se faire refuser notre diplôme au dernier moment, sur le sprint final. Du coup il fallait trouver une bonne idée, puisque se recouvrir de peinture et embrasser le directeur ne semblait pas envisageable... Et cette idée lumineuse, c'est Bouly qui l'a eue, il y a quelques mois de cela. Après avoir demandé de l'aide à Regina, il s'est chargé de rapporter le matos nécéssaire des USA, et voilà. Il ne nous restait plus qu'à aller nous changer.

La fameuse idée : un costard bi-place !
A deux dans un costume 12XL rapporté des USA.
C'était le plus gros du magasin!

On a fait le tour du cocktail comme ça, et on s'est franchement bien marré !

Regardez comme ils sont mignons !!!

Mes parents étaient rassurés, ils pensaient que nous n'allions pas trouver une idée assez "politiquement correcte" et avaient peur pour mon diplôme :)

Mon grand-père était présent lui aussi (avec le téléphone), ça m'a fait très plaisir.
Et Anaïs était encore en mode "assistance technique", pour récupérer nos diplômes.


Voilà Bouly, tu rentres en France 3 petits jours, avec 9h de décalage horaire dans la tête, et on arrive quand même à caler tout ce qu'on avait prévu de faire ensemble, même si ça nous a pris pas loin de 50% de ton temps en France : ça fait tout simplement super plaisir ! Je me suis vraiment trop marré en faisant tout ça, je continue de rigoler en y repensant, et j'étais bien fier de montrer ces photos à Regina ce soir (en rentrant, elle m'a demandé direct si finalement on avait réussi à placer le coup du costard bi-place !). J'ai vraiment apprécié les moments passés ensemble durant ces 2 jours, c'est une chance d'être ton ami. J'espère qu'on aura l'occasion de se voir bientôt.

Photo bonus, pour le tribute to Bouly
En 417 à Ivry, en train de sereinement pisser par la fenêtre !
On s'était tellement marrés sur ce coup, je me suis dit que ça te plairait :)

8 avril 2009

Paris Marathon 2009 [Translate]

J'ai couru un marathon pour la deuxième fois de ma vie dimanche, et c'était celui de Paris pour la deuxième fois. Au niveau des chiffres : je suis arrivé 7964ème sur 30334 arrivants (un record), en 3:40:20. Ma position est donc bien mieux que l'année dernière (8500ème sur 28844), mais j'ai perdu 26 secondes par rapport à mon temps de 2008, ce qui est assez frustrant, surtout lorsque tu vois la ligne d'arrivée à 300 mètres devant, que tu sens que tu es complètement à fond, et que ton chrono affiche 3:39:01... Là tu sais que tu seras derrière !

Mais commençons par le commencement. Samedi soir nous étions six chez Solen et Morgan pour la Pasta Party : Amélie, Pierre, Anaïs et moi étions venus manger des pâtes avec les bonnes sauces qu'ils nous avaient préparées. On s'est bien régalés ! La veille au soir on a aussi régler le problème de Jonathan : il allait courir avec le dossard de Maggie, qui lui permettrait de prendre le départ du marathon. Mais étant donné qu'il visait moins de trois heures, et que Maggie est vétéran femme, il aurait été environ médaille d'argent dans cette catégorie, et donc Maggie se serait faite radier du marathon. Or elle veut pouvoir courir ce marathon un jour (elle voulait le courir cette année), donc ils ont décidé que Jonathan courrait sans la puce, pour que son temps ne soit pas officialisé.

Solen, Anaïs, Amélie, Pierre, et Morgan aux fourneaux :)


Coucher vers 23h30, et lever vers 6h le lendemain matin. Morgan nous a rejoint à la maison et nous sommes partis tous les quatre à 6h50 pour prendre le RER. Jonathan et moi pour courir, Anaïs et Morgan pour supporter. Arrivée à Paris place de l'Étoile aux alentours de 7h45, pour un départ à 8h45 (et donc une entrée dans les sas de départ à 8h15). Petite satisfaction d'un besoin naturel (notée SBN plus bas, car souvent utilisée !) en sortant du RER, et on se sépare. Jonathan et moi partons nous échauffer (échauffement entrecoupé de multiples SBN !), pendant qu'Anaïs et Morgan essayent d'aller se placer à un autre endroit qu'au départ (où il est impossible de voir qui que ce soit).

Sortie du RER et première SBN (merci Momo pour la photo !)


On s'échauffe pendant 20 minutes avec Jonathan. On croise quelques éthiopiens qui s'échauffent bouche fermée, en mode complètement sereins, comme nous quoi... Sauf qu'eux ils doivent être à 17 km/h ! On se sépare ensuite pour aller dans nos sas respectifs : Jonathan dans le 3h (en sautant par dessus la barrière car Maggie avait un dossard 3h45) et moi dans le 3h30. Quand il reste 30 minutes avant le départ, que tu n'as rien de mieux à faire que d'écouter Nelson Monfort ou Bertrand Delanoë au micro officiel, et que tu as passé le trajet en RER à boire, et bien tu es content d'avoir gardé ta bouteille vide pour ne pas avoir à faire la queue aux toilettes !

Finalement le temps s'écoule assez vite, et le coup de feu du départ se fait entendre. Je passe la ligne de départ avec 3:16 de retard sur le chrono officiel des hommes de tête. Petite anecdote pour se rendre compte du monde qu'il y a sur les Champs Élysées au moment du départ : les premiers en sont au cinquième kilomètre quand les derniers passent enfin la ligne de départ ! Je m'arrête dans le premier kilomètre pour une SBN, comme l'année dernière, et je passe le panneau "KM 1" en 5:16, exactement comme l'année dernière, un signe... ? Je visais 3h30, donc 5 minutes par kilomètre, ou 8 minutes par mile (il y a une balise à chaque km, et une balise à chaque mile).

Cette année j'avais décidé de suivre les meneurs d'allure, plutôt que de les dépasser d'entrée pour me faire rattraper au km 30 et ne plus les revoir comme l'année dernière. Les meneurs d'allure ce sont des gars de l'organisation qui courent en portant un drapeau pour signaler le temps qu'ils vont faire. Par exemple, il y avait 4 meneurs d'allure 3h30, et leur record personnel doit sûrement se situer aux alentours de 3h, peut-être moins : il faut qu'ils soient sereins ! Cette année un des quatre a eu une défaillance, et a terminé en 3h38 au lieu de 3h30. Je me suis donc recollé au deuxième meneur après mon arrêt du premier kilomètre, et j'ai fait de même après une dernière SBN au km 8... !

C'est parti pour un rythme de croisière à 12 km/h.


Ça s'est très bien passé ensuite, les dix premiers km dans Paris, les dix suivants dans le bois de Vincennes, par un beau soleil, toujours collé aux meneurs d'allure, pour passer sous l'arche marquant le semi marathon en 1h45, donc parfaitement dans le rythme. Je me sens encore bien au niveau des jambes, mais je commence à sentir mon genou à ce moment-là. Je maintiens le rythme sur les quais de Seine, à partir du km 24. On passe dans des tunnels, où les plus en forme trouvent la force de lancer des "Vous êtes fatigués !", "On n'est pas fatigués !". Je passe sous le tunnel près du pont de l'Alma peu avant le km 30, où je savais qu'Anaïs, Morgan, plus Solen et Pierre qui les avaient rejoints depuis, devaient être postés : je les ai chopés à la sortie du tunnel, et leurs encouragements ont bien fait plaisir :) Merci !

Posture pas ouf, mais rien à voir avec la suivante...


Sauf que juste après, c'est le fameux mur des 30... Je me surprends un peu à le passer assez facilement, et à ne pas trop me faire lâcher par les meneurs d'allure, même si à ce moment-là ça me demande beaucoup plus d'efforts de les garder en visée. Et puis au km 33 mes jambes ont commencé à me faire énormément mal. Les meneurs d'allure sont partis devant, je ne les ai plus jamais revus. Et là une pensée m'envahit immédiatement : "encore 9 km, moins de 6 miles !". Du coup je repensais à mes entraînements aux US, quand je partais pour une petite sortie de 6 miles en semaine... Mais là je ne jouais plus dans la même cour avec 33 km dans les pattes ! La deuxième course dans la course commence à ce moment-là.

Alors là j'en chie, mais bien !


Les 7 km suivants ont vraiment été très difficiles : c'est vraiment là que le manque de longs runs pendant l'entraînement s'est fait ressentir. Au ravitaillement du km 35 j'ai vraiment failli m'arrêter tellement j'avais mal, mais en voyant le nombre de gens qui n'en pouvaient plus depuis 5 km, je savais que je ne repartirais jamais, alors j'ai encaissé et j'ai continué. J'ai atteint le ravitaillement du km 40 avec les jambes en feu, et un brin de bide assez phénoménal (mon estomac commençait à ne plus rien vouloir assimiler). J'ai chopé des oranges et de l'eau à ce dernier ravitaillement, et ça m'a vraiment relancé, j'ai pu en remettre un coup, reprendre ma vitesse d'avant le km 30, exactement comme l'année dernière. Le mental joue pas mal aussi, quand tu sais qu'il ne reste plus que 2 km, tu atteins le panneau "KM 41" très rapidement, juste pour que le prochain panneau soit celui de l'arrivée.

Il faisait vraiment super beau, c'était très agréable.


Comme l'année dernière donc, j'ai doublé beaucoup de gens dans ces 2 derniers km, et ça fait vraiment du bien au niveau du mental, quand tu en chies sévère depuis 45 minutes et que tu te fais un peu plus mal à chaque fois que tu poses le pied par terre, de pouvoir relancer et finir un peu mieux. Mais je me suis quand même rendu compte dans la dernière ligne droite, en regardant mon chrono, que je serai derrière mon temps de référence, même si ça restait de très peu. J'ai quand même tout donné sur la fin, et je suis allé m'effondrer contre une barrière sur le côté juste après avoir passé la ligne, en 3:40:20. Ça faisait environ 21 km que mon genou me faisait mal, et surtout 9 km que j'avais l'impression de m'arracher la cuisse à chaque pas !

Happy Alex :)


Je suis vraiment content d'avoir réussi à faire la même course que l'année dernière, avec un entraînement beaucoup plus approximatif, et un genou en bois. J'ai retrouvé tout le monde au bout de l'avenue Foch, et j'ai appris que Jonathan avait plus que rempli son objectif, puisqu'il avait franchi la ligne depuis un bon bout de temps déjà : il a mis 2h50 pour courir les 42,195 km ! Félicitations !

   
 Quelques images de la course de Jonathan.


 Dans le RER au retour (encore merci Momo pour la photo !)

4 avril 2009

Time goes by really fast [Translate]

Déjà une semaine en France ou presque, je n'ai rien vu passer ! Je suis arrivé dimanche matin, après six heures de vol sans dormir (je me suis fait complètement rouler par ma technique pour dormir dans l'avion !). Anaïs était venue me dire bonjour à l'aéroport, et mes parents sont venus me ramener à la maison. Je ne me souviens pas avoir fait quoi que ce soit de grandiose le dimanche à part dormir 4h dans l'après-midi.

Je me suis remis assez vite du décalage horaire, en me levant à 7h30 lundi. Je suis allé courir un tout petit peu le matin, complètement dans le gaz (vers 3h du matin heure US), puis je me suis mis au boulot. La motiv' n'était vraiment pas loin de zéro ! Je suis allé déjeuner dans le nouvel appart' d'Amélie le midi, c'était très sympa, même si je n'ai pas été très bavard, la fatigue ne facilitant pas la conversation ! Le soir je suis allé faire un tour à Télécom pour le débat des listes BDE de cette année, Bed in Black et Let it Bed.

Mardi soir j'ai revu Solen et son frère Tristan, pour une petite session course à pied de 6 km, car ils s'entrainent pour les 10 km de Fontenay qui auront lieu le 1er mai. Ça faisait bien plaisir de discuter en courant. Mercredi journée routine, en mode boulot toute la journée pour rattraper le retard pris le lundi, et appel aux US à 16h (10h du matin là-bas) pour le meeting quotidien, histoire de rendre compte de mes avancées et de ce qui me bloque. C'est assez utile parce que je bosse beaucoup pendant qu'ils dorment, donc ça fait une occasion de leur lister tout ce qui m'empêche de continuer.

Jeudi après-midi je suis allé voir un dermato français pour mon bras et ma jambe, qui m'a tout de suite dit que j'avais de l'eczéma, et qui m'a donné des pommades et du savon spécial. En deux jours ça va déjà beaucoup mieux ! Le soir on devait se retrouver avec Anaïs, Carole, Nico et Fanny pour un resto, mais Fanny n'a pas pu venir car elle a fini après 22h30 au boulot : c'est bien dommage. Mais c'était bien cool de passer la soirée tous les 4 :) On a été dans un resto italien vers la rue Mouffetard, parce que j'avais commencé mon régime à base de pâtes en prévision de dimanche. C'était très bon, on s'est régalés.

Après avoir bien mangé (Nico, beau gosse !)





Vendredi j'ai bossé à Télécom (j'ai eu du mal à trouver le temps de travailler cette semaine, j'espère que ça sera plus simple dans les jours qui viennent), j'ai mangé des pâtes au RAB, et le soir j'ai été à la TNT de campagne pour aller voir les films des listes BDE. Le film des Bed in Black n'était même pas digne d'un film de liste pipo (je me souviens du film des Pires Crevards du Bed qui était bien mieux par exemple) et assez court. J'ai préféré celui des Let it Bed, pendant lequel on ne voyait pas trop le temps passer malgré un ou deux passages un peu longs (le début et le golf). À signaler : un film faisant partie des films pipo (je ne sais pas trop par qui il a été fait, surement TiVi+), et qui racontait les sujets classiques des films de campagne BDE, passait un tout petit extrait du film Abracadabed (celui du caddie) ! Le soir au menu, c'était pâtes :)

Aujourd'hui je suis allé chercher les dossards du Marathon de Paris avec Jonathan, qui s'est débrouillé pour choper celui de Maggie, avec une pièce d'identité que j'avais ramenée des US. Je suis numéro 12111 et Jonathan est 22665. Ensuite je suis allé courir 4 ou 5 km en fin d'après-midi. Ce soir c'est Pasta Party chez Solen et Morgan, ce qui me permettra de (re)découvrir leur appart', car il a beaucoup changé depuis mon départ à Boston. Ensuite coucher tôt, car demain le départ est à 8h45, et on y va en RER. Une spéciale dédicace à Morgan qui me sponsorise pour le chrono, Nico pour la carte imagine'R, et Anaïs pour le transport des affaires pendant la course, merci à vous ! À demain après 42,195 km !